论坛风格切换
  • 2661阅读
  • 8回复

[活动]凡在6月10-6月17日发街拍牛仔薄裤短裙视频超过300个主题均奖励50元整! [复制链接]

上一主题 下一主题
 
只看楼主 倒序阅读 使用道具 楼主   发表于: 2011-06-09
凡在6月10-6月17日发街拍牛仔薄裤短裙视频超过300个主题均奖励50元整! KIIym9%  
ZqP7@fO_%  
视频要求: PGY9*0n  
不能转发本论坛,原创转载没有限制,必须为论坛没有  XNlhu^jh  
转发视频必须格式为一楼预览图,二楼为链接地址为有效视频链接,为出售内容【必须内容】 ] R<FKJ[  
视频内容:紧身牛仔裤,紧身一步裙,紧身薄裤 Y'JL(~|  
)Oe`s(O@[I  
街拍图片要求: e2bLkb3c  
1。街拍图片内容街拍内容 hk.yR1Y|  
2。街拍图片衣着限制在紧身牛仔和紧身薄裤,紧身一步裙,要求人物身材起码凹凸感,给人一种曲线魅力和饱满魅力 ]'e A O  
5。必须是套图,而且一系列图片不能低于10张, 5v+L';wx[T  
XR<G} x  
图片和视频数量要求必须在300主题贴 97(n\Wt 2  
YMK>+y[+4  
达到要求的朋友,就是可以跟帖申请,于6月18日统一发送 [{?;c+[  
只看该作者 沙发   发表于: 2011-06-10
哦哦哦哦哦哦哦哦哦哦
只看该作者 板凳   发表于: 2011-06-21
满头银发 - Qzone日志
,上海团购 ~SUl,Cs  
/9# jv]C:  
|返回日志列表 (ZSSp1R v  
74OM tLL$  
101992 2010年04月02日 19:46 阅读(loading...) 评论(6) 分类:个人日记 pLcng[  
6&T1 ZY`  
在镜子前,团购网站大全,拔了几根白头发……仔细一撩,?团购网,满头皆是,团购导航 )Ggx  
R/|o?qTrj  
发表 取消 jnY4(B   
x.RZ!V-  
~Ua0pS?  
b`mEnI VIz  
|返回日志列表
只看该作者 3楼  发表于: 2011-08-05
12bkBDelta du Niger - l'insoluble conflit - _617
Delta du Niger : l'insoluble conflit ? 9O|m# &wa]  
         8.vD]hO  
       S-im o  
Des combattants du Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger, en septembre 2008.AFP/PIUS UTOMI EKPEI NpSS/rd $  
   SlmgFk!r!  
Goodluck Jonathan devrait, selon toute vraisemblance, remporter le scrutin présidentiel du 16?avril au Nigeria, ce qui serait une première pour un homme originaire du delta du Niger depuis l’indépendance, en 1960. Pour autant, cette région riche en pétrole, régulièrement en proie à des tensions, est loin d’être pacifiée. Parviendra-t-il, s’il est élu, à juguler la violence résiduelle des activistes du MEND et à préserver une amnistie bien fragile?? éléments de réponse. UZqr6A(/H  
8^kw  
Marquée par une succession de coups d’Etat et de dictatures militaires, dont la dernière, celle du général Sani Abacha (1993-1998), a laissé un sinistre souvenir, l’histoire récente du Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique avec environ 158 millions d’habitants, s’est écrite à l’ombre des armes. Au sud, le delta du Niger, zone riche en matières premières, notamment en pétrole, n’a pas été épargné par la violence. Une violence qui perdure, en dépit des tentatives récurrentes du gouvernement fédéral d’inciter les rebelles du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger) à déposer définitivement les armes. yoQ}m/Cj  
Aux sources du conflit?: la terre et l’or noir RAPR-I;{  
Le conflit de basse intensité qui mine le delta du Niger trouve son origine dans les années 1980. Largement privées des fruits de la manne pétrolière, qui a cr? dans des proportions considérables à la faveur du boom pétrolier dix ans plus t?t, les populations locales s’organisent en un vaste mouvement de protestation. Leur cible?? Les militaires, qui ont fait main basse sur l’or noir et revendiquent la propriété du sol. A l’époque, la lutte est pacifique. Mais déjà, les fondements du futur conflit affleurent. "Il y a deux versants très politiques dans cette rébellion?: c’est à la fois une contestation du Land Use Act de 1978 [lequel dépossède les communautés locales de leurs droits fonciers au profit de l’Etat fédéral] et du mode de redistribution de l’argent du pétrole, qui fournit 96 % des recettes à l’exportation de l’Etat", analyse Marc-Antoine Pérouse de Montclos, chargé de recherche à l’Institut de recherche pour le développement et spécialiste du Nigeria. "Le prix du baril tourne autour de 100 dollars. Or, produire du pétrole au Nigeria ne doit pas co?ter plus de 30 dollars. Toute la question est donc de savoir comment répartir la valeur ajoutée ainsi dégagée entre l’Etat fédéral, les Etats fédérés et les communautés locales", précise Jean-Pierre Favennec, expert pétrolier. Sur le plan de la répartition des bénéfices pétroliers, en effet, deux écoles s’opposent. D’un c?té celle de la péréquation (federal character), en vertu de laquelle les Etats riches paient pour les plus pauvres, principalement situés dans le Nord sahélien musulman non-producteur de pétrole?; de l’autre, celle de la dérivation (derivation principle), qui veut que les régions pétrolifères du Sud ? l’Etat du delta, de Bayelsa et de Rivers ? touchent l’essentiel de la rente, f?t-ce au détriment du reste du pays. N?ud gordien de la politique intérieure nigériane, cette épineuse question est d’autant plus difficile à trancher que d’autres critères entrent en ligne de compte, comme les besoins en développement et en éducation. o-c.D=~  
De la lutte pacifique à l’insurrection armée  Jpm=V*P  
Au début des années 1990, l’écrivain et intellectuel Ken Saro-Wiwa est le premier à donner un vrai sens politique à la protestation des communautés locales. En invoquant la pollution qui menace le delta, thématique jusqu’alors largement mise sous le boisseau, il parvient à faire entendre sa voix aux c?tés des grands lobbies environnementaux mondiaux. Il prend la défense des Ogonis, peuple indigène vivant dans l’Etat de Rivers, et fonde le Mosop (Mouvement pour la survie du peuple ogoni), qu’il dirigera jusqu’en 1995. Cette année-là, au terme d'un procès truqué, il est exécuté par pendaison à l’initiative du gouvernement de Sani Abacha. Cet événement marque un tournant crucial dans la contestation. "A partir de là, beaucoup ont réalisé que face aux militaires et à un pouvoir fédéral désespérément sourd à leurs revendications, la seule solution était la lutte armée. Les Ijaws [ethnie majoritaire du delta, sur les plus de 250 que compte le pays] ont donc pris les armes", explique M. Pérouse de Montclos. Depuis cette époque, le Mosop a cédé la place au MEND, dont les actions radicales ciblent prioritairement les intérêts pétroliers. Est-ce à dire que la violence est plus prégnante qu’auparavant?? Sur ce point, M. Pérouse de Montclos se veut nuancé?: "Entre 1993?et 1995, pendant la période dure de la dictature Abacha, le delta du Niger et la zone entourant Port Harcourt étaient à feu et à sang. Les cadavres se comptaient par milliers", rappelle-t-il, précisant "qu’aujourd’hui, on se trouve dans une situation où l’on observe plut?t une décrue de la violence". \SKobO?qI  
Le MEND, une nébuleuse fragmentée et acéphale {9B"'65o  
Le MEND a vu le jour fin 2005, en réaction à l’emprisonnement d’Asari Dokubo, fondateur fin 2003-début 2004 de la Niger Delta People’s Volunteer Force (NDPVF, "Force?des volontaires du peuple du delta du Niger"). Cette arrestation, opérée de concert par la police et les services secrets nigérians un an après que le chef séparatiste eut été invité à négocier avec le président Olusegun Obasanjo à Abuja, la capitale fédérale, a poussé les divers groupes armés dans la clandestinité. Pour autant, le mouvement n’a jamais affiché de réelle unité. "Le MEND s’apparente plut?t à une nébuleuse, à une franchise, comme Al-Qaida, mais avec des objectifs très différents. Il n’y a pas de structure de commandement. Ce n'est pas une guérilla au sens propre du terme, avec une hiérarchie, un chef et des troupes qui obéissent", note M. Pérouse de Montclos. "Si le nom du fournisseur d’armes Henry Okah a souvent été cité [comme chef du MEND], ce n’est pas nécessairement lui qui commanditait les actions", ajoute-t-il. A l’heure actuelle, nul ne saurait dire avec exactitude combien de combattants garnissent les rangs du mouvement. Le seul à avoir accepté, puis finalement rejeté l'amnistie de juin 2009, John Togo, revendique 186 hommes dans l’ouest du delta, autour de Warri. Mais si l’on agrège l’ensemble des chefs de guerre locaux dans les villages, le nombre des rebelles est sans doute bien supérieur. Seule certitude, depuis sa création, le MEND a perfectionné sa technique de combat. Grace aux armes fournies par Henry Okah et aux bénéfices de l’extraction sauvage de pétrole à partir des oléoducs ? une pratique connue sous le nom de "bunkering" qui, d’après M. Favennec, représenterait des centaines de milliers de barils/jour, soit 10 % de la production quotidienne ?, il a "franchi un saut qualitatif" lui permettant, par exemple, de s’attaquer à des plates-formes pétrolières à cent kilomètres des c?tes. 2fN2!OT  
Un antagonisme aux ressorts complexes FJQ=611@  
"Le conflit du delta du Niger est plus complexe qu’il n’y para?t", souligne M. Pérouse de Montclos, qui récuse le schéma binaire d’une opposition entre compagnies pétrolières et Etat fédéral ou entre compagnies pétrolières et communautés locales. "Le bloc même formé par les compagnies pétrolières est loin d’être homogène?: il y a les Chinois, les Russes, les Indiens, sans oublier bien s?r les grandes multinationales occidentales [Shell, Chevron, Exxon Mobil, Total, AGIP], qui ne s’entendent pas nécessairement entre elles. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que, depuis les années 1970, l'industrie pétrolière nigériane est nationalisée. Via la NNPC (Nigerian National Petroleum Corporation), l’Etat nigérian détient entre 55 % et 60 % de l’industrie. Il est donc le premier pollueur du pays?!", insiste-t-il. A l’enjeu pétrolier s’ajoute également une dimension politique, dans la mesure où les rebelles qui sévissent dans le delta et qui, pour certains, alimentent les effectifs du MEND, ont souvent, à l’origine, été instrumentalisés par les gouverneurs locaux pour éliminer physiquement leurs opposants et, par-delà, toute forme de dissidence. Au sein même de la population, enfin, des lignes de faille existent aussi, comme entre le Mosop et les Ijaws, ou bien encore entre les pêcheurs de la c?te et les agriculteurs de l’arrière-pays. ` {/"?s|  
Une amnistie encore fragile 9$f%  
Depuis l’amnistie du 26 juin 2009, les groupes armés qui se revendiquaient du MEND?ont officiellement déposé les armes. Dans les faits, la paix demeure fragile. Elle est surtout portée par l'espoir que suscite l'élection probable de Goodluck Jonathan à la présidence, un chrétien du delta (il est né en 1957 dans l’Etat de Bayelsa). Les groupes armés, semble-t-il, veulent lui laisser une chance. D’autant que Henry Okah, leur fournisseur d’armes, croupit toujours en prison en Afrique du Sud, où il a été incarcéré pour terrorisme après le double attentat à la voiture piégée perpétré à Abuja le 1er octobre 2010 (12?morts). Pour autant, une nouvelle flambée de violence n’est pas à exclure à plus ou moins court terme car le programme d’amnistie n’a rien résolu sur le plan politique. Certes, une loi est en gestation, qui prévoit une réforme de l’industrie pétrolière, mais elle ne touche pas aux principes de péréquation et de dérivation. "Dans ce contexte, je ne vois pas pourquoi les armes se tairaient", estime M. Pérouse de Montclos. Et de conclure, mi-réaliste, mi-fataliste : "Une fois élu, Goodluck Jonathan va devoir faire des compromis à l'échelle nationale. Il y a trois gros Etats producteurs de pétrole au Nigeria et 36 Etats fédérés au total. Il est impensable que les trente-trois autres disent?: nous renon?ons à l’argent du pétrole..."
只看该作者 4楼  发表于: 2012-12-27
用户被禁言,该主题自动屏蔽!
只看该作者 5楼  发表于: 2013-01-25
用户被禁言,该主题自动屏蔽!
只看该作者 6楼  发表于: 2013-01-25
用户被禁言,该主题自动屏蔽!
只看该作者 7楼  发表于: 2013-02-02
用户被禁言,该主题自动屏蔽!
只看该作者 8楼  发表于: 2013-05-22
用户被禁言,该主题自动屏蔽!